dimanche 8 septembre 2013

Si l’on voulait réduire un homme à néant

« Si l’on voulait réduire un homme à néant, le punir atrocement, l’écraser tellement que le meurtrier le plus endurci tremblerait lui-même devant ce châtiment et s’effrayerait d’avance, il suffirait de donner à son travail un caractère de complète inutilité, voire même d’absurdité ».
Dostoïevski (Souvenirs de la maison des morts).

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