"on n'était pas accoutumé de voir la magistrature punir un malfrat professionnel. D'habitude, elle ne s'en prenait qu'aux honnêtes gens, coupables de menus larcins ou de quelques coups ou blessures involontaires et sans gravité. La politique d'alors était de bien tenir en laisse le gros du troupeau. Qu'importaient les maraudeurs et les quelques loups qui ne s'attaquaient qu'aux agneaux et faibles brebis ! "
Jacqueline Clergeau, L'ingénie des Follies Siffait, Les 2 encres
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Il avait dû entrer par une fenêtre ouverte et s’était tapi dans un coin. Il
se levait la nuit, quand nous dormions, et saccageait le salon, faisait
claqu...
Il y a 1 heure
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